La nuit tombe. La route à travers le Kazakhstan n'en finit plus. J'ai quitté Tashkent en Ouzbékistan ce matin. Je suis impatiente de découvrir Bichkek, la capitale du Kirghizstan, qu'Ella Maillart a baptisée « la ville-jardin ». Nous devons y passer deux ou trois jours avec Jarkyn, mon interprète kirghize, avant de partir pour la montagne et nous rendre dans son village. Lorsque nous arrivons enfin, sous une pluie battante, il fait nuit noire et je ne distingue pas grand-chose. Plutôt qu'une ville-jardin, Bichkek ressemble à une immense banlieue pavillonnaire. La seule différence, c'est qu'il y a du monde partout. Presque tous les hommes portent le kalpak, le fameux chapeau haut-de-forme en feutre blanc des Kirghizes. Les rues sont plongées dans l'obscurité faute d'éclairage public et sur les trottoirs cahoteux, une lampe de poche serait la bienvenue. Partout nous frôlons des ombres. Nous dînons rapidement dans une gargote d'un lagman, un plat à base de pâtes et de légumes, avant d'aller nous coucher.
idem que mélanie, n'empeche que je hais ceux qui font ça autant que ceux qui photographient cette pratique honteuse ! un grand bravo a vos talent de photographe ! continuez a soutenir la cause du cheval !!!!!!
Rédigé par : laura | 13/05/2007 à 18:07
jai vu un sacrifice de cheval, bien ke je n'en ai pa mais jai trouvé ça vraiment horible! sacrifié un cheval noin mai! c'est vraimlent horible, il se débatai autan kil pouvai mais non l'homme un homme cruel la égorgé! égorgé je dis bien, et non endormi avan! ds kel monde vivon nous???
Rédigé par : Mélanie | 07/03/2007 à 21:37